Résultat, de très nombreux enfants sont morts: 1, 5 millions d'enfants par année selon l'UNICEF! Distribution gratuite d'échantillons, incitation à la promotion de leurs produits par les ONG, Nestlé n'a pas lésiné afin de faire de sa poudre de lait une poule aux oeufs d'or et un produit mortifère. Grande consommation : vers une alliance data driven des industriels et retailers ? | HUB Institute - Digital Think Tank. L'arnaque, c'est qu'une fois qu'une mère commence à donner à son enfant du lait en poudre, elle ne produit suffisamment de lait et se retrouve coincée: elle doit continuer à utiliser le produit Nestlé et à s'endetter. Ce genre de pratique est courant chez les multinationales, Monsanto fait pareil avec ses OGM et ses herbicides: le RoundUp est un insecticide qui rend la plante accroc, et par conséquent les paysans deviennent dépendants une fois qu'ils ont vaporisé leurs champs une seule fois…
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Ces « meurtres par omission » signés Nestlé ont entrainé de nombreuses vagues de boycott à travers le monde. Pourtant, cela n'empêche pas la multinationale surpuissante à continuer à chercher le profit partout, au détriment des vies humaines.
- Bledina groupe nestle.com
- Bledina groupe nestlé waters
Bledina Groupe Nestle.Com
Les 400 salariés de la filiale du groupe Danone (R&D, fonctions supports et commerciales) ont pris possession de leur nouveau siège social. Bledina groupe nestlé waters. Un bâtiment sans angle droit de 11 156 m², rue de Sans-Souci à Limonest, conçu par DCB International et acheté par le groupe de l'Union notariale financière (Unofi) pour 52, 3 millions d'euros. Markus Sandmayer, directeur général de Blédina a indiqué lors de l'inauguration que cette filiale spécialisée en nutrition infantile demeure leader en France devant Nestlé, avec 47 millions d'euros de chiffre d'affaires sur un marché hexagonal d'un milliard -en recul de 2% avec la baisse de la natalité-. Blédina a maintenu à Villefranche-sur-Saône son usine de production de céréales (160 salariés)
Bledina Groupe Nestlé Waters
16h58, le 10 janvier 2019
Dans son carton kraft, qui lui donne un côté terroir et artisanal, le petit pot Babybio affiche fièrement ses couleurs. Une carte de France sert de table à une assiette de fruits et légumes colorés, en face d'un visage potelé et souriant. Comptez un peu plus de 2 euros pour les deux poires-pommes d'Aquitaine, contre 1, 85 euro pour un pack Blédina certifié AB. "Nous ne faisons pas du bio à n'importe quel prix", appuie Stéphane Priou, directeur marketing de la société. Nestlé : améliorer la qualité de vie, contribuer à un avenir plus sain. Depuis deux ans, la marque domine le marché de l'alimentation infantile bio. Elle a vu son chiffre d'affaires augmenter de 32%, pour atteindre les 40 millions d'euros. Et le bio grignote toujours plus de parts de marché: 15% cette année, contre 12% en 2017. Cela tombe bien, Babybio s'est bâti en faisant la chasse aux pesticides dans l'alimentation pour bébés de 0 à 3 ans avant même qu'une telle attente existe chez les consommateurs. Il garantit aussi une fabrication 100% française, des emballages recyclables et des aliments en grande partie cultivés dans l'Hexagone.
Dans une lubie persistante du brevetage du vivant, Nestlé souhaite par exemple depuis plusieurs années privatiser l'eau … Ce que la marque a réussi à plusieurs endroits du globe, entrainant de véritables scandales humanitaires et écologiques. M. Brabeck-Letmathe estimait que la question de la privatisation de l'eau pouvait être abordée de deux manières: « L'une est extrémiste, défendue par quelques ONG qui considèrent que l'eau est un bien public. » Balayant cette thèse, il précise son idée: « L'eau est une denrée alimentaire comme les autres et doit avoir une valeur marchande. » (empruntée au documentaire We Feed the World). Choquant, non? D'autres scandales agitent le groupe, autour de l'huile de palme. Fiche d'identité du Groupe Nestlé. En effet, afin de bourrer toutes ses sucreries – comme les KitKat – de cette huile bon marché (pour la multinationale), il faut détruire des dizaines d'hectares de forêt, en Indonésie notamment, au mépris de ceux qui y habitent (populations autochtones et espèces rares comme les orangs-outangs).