Paris (AFP) – Avec le laser, "arrêtez de fumer en une séance", "taux de réussite de 85%": ces promesses alléchantes fourmillent sur internet. Mais attention, cette technique, comme d'autres méthodes prétendument miracle, n'est pas validée scientifiquement, préviennent médecins et autorités. "Garantie 1 an & sans prise de poids", promet le site d'un important réseau de "centres laser anti-tabac". Selon ses promoteurs, le "laser doux" stimule des points sur le pavillon de l'oreille, une action censée couper le besoin de nicotine. Une technique qui se revendique de "l'auriculothérapie", elle-même dérivée de l'acupuncture. "Les fumeurs peuvent être en grande difficulté quand ils ont déjà essayé d'arrêter plusieurs fois et tomber dans la trappe très facilement", explique à l'AFP le Pr Daniel Thomas, ex-chef du service de cardiologie de la Pitié-Salpêtrière, porte-parole de la Société francophone de tabacologie (SFT). Quitte à débourser entre 150 et 250 euros en moyenne par séance. Cle de securité reseau. Des promesses d'autant plus alléchantes qu'elles manient habilement un lexique évocateur de la médecine: "Cabinets", "thérapeutes", "traitement"... "Je supprime le besoin physique de fumer", assure à l'AFP Hakima Koné, gérante d'un centre laser parisien.
Cle De Securité Reseau
À huit jours de la fin de la session, les consultations sur le projet de loi 38 se tiendront sur deux jours selon un horaire chargé alors que des groupes seront entendus jusqu'à 22 h. La plupart des articles du texte législatif font consensus, et les avancées ont été saluées. Les maisons de soins palliatifs sont inquiètes
Le projet de loi 38 indique qu'une maison de soins palliatifs ne pourra pas exclure l'aide médicale à mourir des soins qu'elle offre, sauf exception. Une disposition qui a provoqué « une surprise désagréable » au sein de l'Alliance des maisons de soins palliatifs du Québec, qui représente 36 maisons. L'Alliance réclame carrément l'abolition de l'article du texte législatif. Cle de securite. « Il y a des maisons qui ne sont pas rendues là dans le rythme pour différentes raisons qui peuvent varier. Parfois, c'est que les médecins ne sont pas prêts à inclure ce soin, parfois, ce sont les bénévoles ou même des donateurs qui menacent de se retirer », illustre la présidente Marie-Julie Tschiember.
Dans un communiqué, le député de la 6e circonscription du Finistère, Richard Ferrand, indique avoir reçu, ce lundi, la nouvelle ministre de la Santé et de la Prévention, Brigitte Bourguignon, « pour évoquer les dossiers relevant de son ministère, en particulier celui de l'accès aux soins ». Santexpat : la digitalisation des services, une clé pour l’avenir -. Selon le président de l'Assemblée nationale, « cette dernière a confirmé à cette occasion les engagements pris par son prédécesseur concernant l'Hôpital de Carhaix, à savoir le maintien de l'Unité de soins continus (USC) et des activités médicales, chirurgicales et obstétricales (MCO), avec l'appui des personnels du Groupement hospitalier de territoire (GHT) Bretagne Occidentale, le recours à l'intérim et l'appel à la réserve sanitaire. Une attention toute particulière sera portée à la saison estivale et aux périodes les plus tendues, notamment durant le festival des Vieilles Charrues », affirme Richard Ferrand. Une mission sur la reprise du projet d'établissement La ministre a par ailleurs confirmé, toujours selon le député, « le lancement d'une mission consacrée à la reprise du Projet d'établissement de l'hôpital de Carhaix.