Photo: JLS Le pic vert creuse son nid dans les vieux arbres, de préférence morts ou en décomposition ou dans ceux dont le bois n'est pas trop dur. Il creuse d'abord un trou horizontal de 50 à 75 mm avant d'aménager une loge d'incubation de 300 mm de profondeur et 150 mm de largeur à l'endroit le plus large. Il tapisse le fond de quelques copeaux de bois pour former le nid. Le mâle et la femelle mettent 2 à 3 semaines pour creuser le nid. Il réutilise parfois les anciens nids, mais ceux-ci sont souvent "squattés" par les étourneaux sansonnets… Le ricanement très sonore du pivert est souvent entendu avant même d'apercevoir l'oiseau. Ce cri est une note aiguë unique, répétée et qui ressemble à s'y méprendre à un rire moqueur. Dès le solstice d'hiver passé et avec l'augmentation de la durée du jour, le Pic vert redevient vocal et peut exprimer son chant territorial. Ce chant est l'apanage du mâle (écoutez ci-dessous). C'est à la voix qu'il manifeste ses prérogatives sur un territoire qu'il défendra contre tout concurrent.
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Internet est un outil formidable pour la liberté d'expression. C'est aussi un paradis pour les harceleurs, les menteurs, les diffamateurs. A St-Germain de la Coudre, un individu mécontent de l'édile élue par la conseil municipal, avaient entrepris de la harceler et de l'insulter sur le site d'information cantonal, le Pic Vert moqueur. Las, l'éditrice dudit Pic Vert censurait, à juste titre, les insanités de l'individu. L'individu s'en pris alors au Pic Vert moqueur, passant ses journées à saturer de spams les commentaires, puis à son éditrice, l'injuriant, la diffamant sur les sites les plus improbables. Le ton était monté si haut dans la vilenie, qu'il fallut bien redescendre. L'individu créa alors un site, graphiquement calqué sur celui du Pic Vert moqueur, dont l'individu rédigeait à la fois les textes et les commentaires. Comme il fallait bien remplir des pages avec autre chose que des photos de WC publics sales (véridique! ), il se mit à piller ce qui était publié sur son modèle haï, le Pic Vert moqueur.
Il creuse d'abord un trou horizontal de 50 à 75 mm avant d'aménager une loge d'incubation de 300 mm de profondeur et 150 mm de largeur à l'endroit le plus large. Il tapisse le fond de quelques copeaux de bois pour former le nid. Le mâle et la femelle mettent 2 à 3 semaines pour creuser le nid. Il réutilise parfois les anciens nids, mais ceux-ci sont souvent « squattés » par les étourneaux sansonnets. Ce logis, définitivement abandonné par les Pics après l'envol des jeunes, sera un abri providentiel pour d'autres oiseaux cavernicoles. Nichoir Le pic vert peut aussi utiliser des nichoirs fermés. Trou d'envol: 65 mm. Profondeur intérieure: 380 mm. Plancher: 127 par 127 mm. Garnir le fond du nichoir d'une poignée de copeaux de polystyrène. Non garni, le nichoir peut également convenir aux étourneaux sansonnets. Nombre de couvées Une seule couvée. Ponte Fin avril début mai. Œufs De 5 à 7 œufs blancs luisants (31 mm par 22 mm). Incubation De 18 à 21 jours (la femelle couve alternativement avec le mâle, le mâle la nuit).
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Ils sont toujours 15 000 professionnels de santé non vaccinés à ne pas pouvoir exercer en France. Alors que 120 services d'urgences sont menacés de fermeture, Marine Le Pen a réaffirmé ce mercredi 1er juin sa volonté de voir ces soignants réintégrer les services de soins du pays. « Il faut évidemment réintégrer immédiatement les soignants, il faut changer la manière dont l'hôpital est dirigé en réintégrant les médecins aux côtés des administrateurs dans la direction de l'hôpital » a fait valoir la candidate Rassemblement national à la présidentielle dans l'émission « Les 4 Vérités » sur France 2. En réaction au déplacement d'Emmanuel Macron, la veille dans un hôpital de la Manche, Marine Le Pen a eu un ton quelque peu moqueur, évoquant la « mission flash » organisée par l'exécutif pour faire un bilan des difficultés rencontrées par les services d'urgences. « C'est comme le loto, on a une chance sur vingt millions de gagner, c'est un peu comme le loto flash » a-t-elle ironisé au micro de Caroline Roux.
Vol et déplacement: Il fait une trentaine de cm de long pour une envergure d'une quarantaine de cm, son vol est caractéristique car ondulant en vague, il se laisse monter par des coups d'ailes puissants et redescendre ailes repliées en faisant une courbe ascendante, un vol tendu…
Distribution géographique: C'est un oiseau européen, il est présent de la côte atlantique jusqu'à l'extrême Est de la Russie, il semble être absent de l'Irlande et de la Finlande. Chant et cris: Il a un chant puissant une phrase flutée qui réduit en intensité sur la fin, alterné de « Kiak, kiak, kiak » très sonore. Reproduction: C'est un oiseau cavernicole qui va creuser une loge dans un tronc d'arbre, cela va lui prendre plusieurs semaines suivant la dureté du bois, le femelle pond 5 à 6 œufs vers le mois d'avril, les 2 se relaient pour couver et nourrir les oisillons (fourmis, insectes) et ils sortent au bout d'une vingtaine de jours…
Statut de protection: Espèce assez commune pas de menace particulière. Particularités: Oiseau souvent accroché sur le côté les troncs d'arbres qu'il visite ou au sol dans les herbes entrain de sautiller.
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Il vit en forêt, de préférence au bord de l'eau, mais on le trouve aussi dans les jardins, les bosquets ou les vergers.
Rappelons que nous avions publié cette liste suite au méticuleux travail d'analyse des banques de données fait par Pierre Dupuy pour préparer sa conférence sur les oiseaux des Laurentides. Dans ce document, le statut et l'indice de fréquence d'observation de chacune des espèces donnent une idée de ce que l'on pourrait voir au cours d'une excursion ornithologique. Vous trouverez la liste et plus d'informations sous l'onglet Ornithologie, section Liste des oiseaux du territoire du COHL. (Photo: Héron garde-boeuf, © Michel Renaud)
À chaque été, la cheminée de l'église de Saint-Jovite offre un abri nocturne à une espèce d'oiseau fragile des Laurentides: le Martinet ramoneur. De mai à août, quelques dizaines d'individus, voire quelques centaines, y entrent à la tombée du jour et en ressortent à l'aube. Continuer la lecture →
Cette année encore, la présence d'un couple nicheur de Faucons pèlerins a été confirmée par le COHL au mont Larose à Montcalm au cours du mois d'avril. Deux fauconneaux ont pu être observés à quelques reprises en début d'été.