Six spécialistes de la nage en eau libre sont en Polynésie dans le cadre de la deuxième édition de la Tahiti Swimming Experience. Cette discipline olympique qui consiste à nager dans un cadre naturel est en plein essor en métropole, la France s'étant classée première lors des championnats du monde de la discipline en 2017. Nous avons voulu en savoir un peu plus sur cette discipline qui apparaît comme une évidence en Polynésie. La nage en eau libre est en plein développement en métropole. La France a terminé première lors des derniers championnats du monde de la discipline. La discipline est à la fois ancienne et nouvelle. Nager en cadre naturel se fait depuis toujours mais le besoin de reconnection avec l'environnement au sens large a boosté cette discipline depuis quelques années. En Polynésie française, cette discipline apparaît comme une évidence. Lagons idylliques, températures idéales, attirance pour les sports nautiques…tout est là pour que la discipline se développe et la fédération tahitienne de natation l'a bien compris.
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Dans l'art d'inventer des épreuves un brin extrême et invraisemblable, la firme qui donne des ailes n'a pas d'égal. En témoignent ces quelques images de la Red Bull Neptune Steps, qui se déroule en Suède. Le but est simple: remonter un canal long de 420 m et ses écluses à la force des bras et des jambes... dans une eau à 2°C. Ce n'est pas l'enfer du Norse, l'ironman le plus dur au monde dans les fjords norvégiens, mais ça réveille quand même! Par Les Dernières Nouvelles d'Alsace -
20 mars 2018 à 15:58
| mis à jour le 20 mars 2018 à 16:03
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On les exhorte à prendre leur inspiration en regardant vers l'avant et à identifier des repères à la terre comme des bosquets ou des bâtiments singuliers. » Houle, courants, rochers, variation de la température de l'eau… Autant de pièges qu'il faut savoir éviter. « Le premier conseil à donner aux jeunes nageurs? Prendre des douches froides tous les matins », s'amuse Benjamin Tranchard. Mais Florian Lucas prévient: « Gare à l'eau tiède, les nageurs doivent continuer à s'hydrater au risque de prendre un coup de chaud. » L'ennemi numéro 1 des fondeurs reste sans doute la distance. « Il faut nager en fréquence, amplifier un maximum les mouvements de bras et repousser la fatigue, conseille Marc-Antoine Olivier. On doit en garder sous la pédale en vue du sprint final. Sur dix kilomètres et deux heures de course, c'est primordial. » Attention à la disqualification Dans l'eau libre, les nageurs se retrouvent les uns avec les autres. Le peloton peut devenir un allié ou un cauchemar. « C'est comparable à une course cycliste, explique Benjamin Tranchard.