À qui la faute - Victor Hugo lu par Yvon Jean - YouTube
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Il use aussi de modalité exclamative qui font ressortir son indignation. C'est le point d'orgue de toute la démonstration. Le tutoiement utilisé permet aussi de le mettre en position d'infériorité. Il y a là une dimension épique, la mise en accusation est d'autant plus forte que le locuteur adopte un ton très enthousiaste (anaphore – Ponctuation forte – Rythme rapide – multiplication des énumérations – rime ex: « Histoire » avec « repertoire » v 15-16 où l'histoire recèle des trésors infinis, elle est porteuses de sens. Ou encore « Vérité » avec « clarté » v 14-13 pour montré la lumière)
Conclusion:
Ainsi à travers le discours engagé, Victor Hugo montre que la violence est basée sur l'ignorance...
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A cette même époque, le langage évolue, il y a une véritable révolution du langage, Hugo dit lui même: « J'ai mis un bonnet rouge (=révolution) au vieux dictionnaire » ou encore « j'ai pris la bastille (image de révolution) des rimes) On veut dire par là que il y a moins de mots sénateurs ni orduriers qui sont utilisé au profit d'un langage plus familier, on a aussi un révolution du langage qui propose de morceler les Alexandrins, vers emblématique de la tragédie, vers noble qui est jugé trop empesé et guindé (lourd et vieux), « J'ai disloqué le grand niais d'alexandrin »V. Hugo. C'est un pionniers, il milite pour les droits de la femme, pour des États unis d'Europe, droits de l'homme, abolition de l'esclavage, etc. Commentaire
Introduction:
Après 20 ans d'exil, Hugo rentre en France, dans les années 1870. Hugo est témoin des massacres des guerre civil de la 2ème république. C'est suite à cela qu'il écrira « l'année terrible » qui retrace ces horreurs et dont est extrait « A qui la faute?
Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints. Le livre en ta pensée entre, il défait en elle Les liens que l'erreur à la vérité mêle, Car toute conscience est un noeud gordien. Il est ton médecin, ton guide, ton gardien. Ta haine, il la guérit; ta démence, il te l'ôte. Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute! Le livre est ta richesse à toi! c'est le savoir, Le droit, la vérité, la vertu, le devoir, Le progrès, la raison dissipant tout délire. Et tu détruis cela, toi! - Je ne sais pas lire.